Le 14 mars, à l’Assemblée nationale, dans le cadre des questions au gouvernement, j’ai interpellé le Premier ministre pour dénoncer sa décision d’imposer une réduction de la vitesse maximale autorisée à 80 km/h sur le réseau secondaire.
Comme en atteste sa réponse, le gouvernement reste sourd à nos arguments et à l’inquiétude légitime des habitants des zones rurales qui, décidément, sont peu considérés à l’heure où plusieurs rapports laissent craindre le pire pour les projets d’infrastructures routières et la desserte ferroviaire de nos départements. Alors que, dans le même temps, ce gouvernement affiche comme priorité « la mobilité du quotidien »…
Je vous invite à rester mobilisés aux côtés des élus qui refusent la perspective d’une France à deux vitesses et restent déterminés à obtenir du gouvernement qu’il revoit sa position ou, pour le moins, l’adapte.